Comme ils sont étranges ces jours où la joie de vivre est programmée dans les calendriers !
Je ne vous souhaite pas bonne année comme tout le monde, par automatisme, non la bonne année elle commence chaque jour qui s’annonce. Elle nous appartient déjà dans l’ouverture à sa réalisation au présent issue de la première pensée éclose sur la page blanche de notre journée. Cela ne peut pas être une promesse tirée de l’éphémère pour l'année à venir, quand bien même « le système » et sa doxa nous invite à y croire tout en nous fermant la porte à nos propres sentiments et potentiels de réalisations !
Ne voyez-vous pas que remplacer une marionnette par une autre n’éradiquera pas la tyrannie entretenue contre les peuples mais qu'elle restera la même et perdurera. Que la suprématie des tenanciers banquiers apatrides du monde est sans limite et sans couleur politique, c'est-à-dire "la main qui tient l'économie mondiale" n'est que mafia et corruption et que c'est nous, le peuple ignorant qui nourrissons cette bête infernale à l'appétit gargantuesque.
Nous sommes probablement l’une des dernières générations d’homo sapiens. Parce que les générations à venir nous apprendrons à concevoir des corps, des cerveaux et des esprits. Maintenant à quoi ressembleront exactement les futurs maîtres de la planète ? Cela sera décidé par les personnes qui possèdent les données. Mais maintenant pourquoi les données sont-elles si importantes...
Beaucoup encore sont dans le déni ou considèrent que la "vérité" n’est pas bonne à dire, qu’elle risque de faire peur. Beaucoup n’ont pas encore compris l’ampleur de l’infamie en cours et les risques évidents, à se soumettre aux injonctions vaccinales.