Les élections, un leurre de plus

Ne voyez-vous pas que remplacer une marionnette par une autre n’éradiquera pas la tyrannie entretenue contre les peuples mais qu'elle restera la même et perdurera. Que la suprématie des tenanciers banquiers apatrides du monde est sans limite et sans couleur politique, c'est-à-dire "la main qui tient l'économie mondiale" n'est que mafia et corruption et que c'est nous, le peuple ignorant qui nourrissons cette bête infernale à l'appétit gargantuesque.
Le système est réfléchi et conçu pour qu'à chaque fois nous croyions que notre voix (bulletin dans l'urne) serve la démocratie. ILLUSION !
Nous ne faisons qu'offrir notre consentement à un système dont nous n'avons aucun contrôle dessus. Ce système nous asservit toujours plus chaque fois. En sortir c'est s'affirmer souverain et faire sécession avec ce système.
Asservir le peuple est la seule raison d’être du système qu’ils ont créé pour générer éternellement des profits privés au dépend du bien commun et de la planète. Aucune marionnette quelque soit son nom ou sa couleur politique, une fois installée à son poste de dirigeant ne servira rien d’autre que le libéralisme ambiant.
Aujourd’hui ce libéralisme est atlantiste et mondialiste. Ce dirigeant zélé n'a pas d’autre pouvoir que celui d’être en phase avec le programme qui lui est assigné par le marionnettiste. Ce dirigeant aux ordres n’est qu’un ou une figurante interchangeable selon les circonstances et enjeux du moment. Et aujourd’hui l’enjeu global a pris une dimension géopolitique mondiale et s'appelle le Great Reset. Tous les dirigeants européens font partie de l’élite libérale atlantiste.
Nos élites française passées, présentes, et futures ne font pas exception à la règle. Une élite est placée stratégiquement à ce poste par le système et au gré du vent des évènements économiques en jeu, UNIQUEMENT pour entretenir et faire avancer le système global atlantiste et mondialiste. Elle sert et rend des comptes suivant un plan et un agenda déterminé à l’avance qui lui sont dictés d'en haut par le marionnettiste bien à l’abri dans les couches anonymes du pouvoir profond.
Quand allons-nous cesser de céder à cette mise en scène d'un esclavage en ordre de marche inscrite dans leur agenda ? quand allons-nous cesser de biberonner leurs mensonges et subir leurs corruptions et tyrannie ? quand allons-nous nous réveiller de l’état d’abêtissement et de déni dans lequel ils nous ont plongé depuis si longtemps ?
Cette guerre profonde qu’ils ont ouvertement déclaré contre les peuples au fil du temps, sous quelque prétexte que ce soit (virus-machin, la guerre-terroriste, la crise-climatique et économique etc.) ne sont qu'exagérations, mensonges, préméditations et stratèges pour asseoir d'avantage leur contrôle et pouvoir hégémonique sur le reste du monde.
Ils ne représentent pourtant que 0,01 % de la population mondiale l'ensemble de cette caste de prédateurs que sont les lignées richissimes des Rothschild, Soros, Rockefeller, Orsini, Bush, famille royale Britannique, Schwab, Bill Gates, Zuckerberg, Vanguard, Blackrock, leurs valets etc. mais ils sont l’anti-civilisation, la dégénérescence caractérisée et sont la chose la plus répugnante de l’histoire.
N'oubliez pas que contrairement aux apparences, nous ne VOTONS PAS nous élisons (voir les travaux d'Etienne Chouart) et en faisant cela nous consentons et cautionnons le système que nous croyons combattre et donnons TOUT pouvoir à celui ou celle qui prend la place. La SUPERCHERIE d'une démocratie qui n'en est pas une commence là.
Dire NON, un NON franc et massif inébranlable est une première approche. À partir de là, il faut se rassembler en groupements d’intérêts et travailler ensemble pour rebâtir un monde en parallèle de celui que nous avons décidé de quitter. Il va s’agir de construire de manière responsable un nouveau paradigme.
On ne peut pas sortir d'un problème en utilisant les règles du jeu qui ont été développées et mise en place pour créer ce problème. C'est l'exercice du "pouvoir" mal-faisant, la manipulation et la tromperie qui a fait que nous en sommes arrivés là. Et à ce petit jeu le peuple n'a jamais été le plus fort. Il faut TOUT revoir de fond en comble SANS EUX, car avec eux, ils ne nous laisseront jamais faire. C'est d'un autre paradigme dont nous avons besoin, et ça a déjà commencé. Avec ce machin co-vid, des "ONG" voient le jour coté santé, des "Valérie Bugault" des "Chouard" aussi coté politique... il ne s'agit donc plus de s'affronter en aveugle mais avec les bonnes personnes et de la bonne volonté, faire sécession d'avec ce système pervers énergivore pour construire ensemble un nouveau monde homogène et en paix. Je pense qu'on doit "pouvoir" refaire société à coté en parallèle. On a pas d'autre choix que de faire sécession d'avec ce système moribond sans avoir à lui rendre des comptes, ça va prendre du temps mais ceux qui auront commencé et posé les fondations sur cette "nouvelle terre" seront prêts pour accueillir les autres quand tout ce sera effondré. Parce que tout va s'effondrer d'une manière ou d'une autre, et je dirais même qu'il n'y a rien à garder de ce vieux monde corrompu et que tout DOIT s'effondrer pour que le nouveau puisse apparaître et s'installer. "on ne remplit pas des outres vieilles avec du vin nouveau"
ILS PARAISSENT GRANDS PARCE QUE NOUS SOMMES A GENOUX, alors, RELEVONS-NOUS.
JMP
Et si nous décidions ensemble qu'un vrai changement se produise, qu'un nouveau paradigme puisse voir le jour !?
Source vidéo : https://odysee.com/voter-tue,-version-courte-illustr%C3%A9e:1
Sources vidéo :
https://odysee.com/@valeriebugault:c/revoludroit_notre_legitime_defense_valerie_bugault_akina_10_mars_2022:4
Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n'est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l'exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m'accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j'ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.
Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c'est être dupe ; c'est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d'une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l'échenillage des arbres à l'extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l'immensité de la tâche. L'histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c'est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l'honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l'homme change avec lui. Aujourd'hui, le candidat s'incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L'ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu'il était avant d'avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n'apprend-il pas à courber l'échine quand le banquier daigne l'inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l'honneur de l'entretenir dans les antichambres ? L'atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s'ils en sortent corrompus.
N'abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d'autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d'action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c'est manquer de vaillance.
Je vous salue de tout cœur, compagnons .
Élisée Reclus.
Lettre adressée à Jean Grave, insérée dans Le Révolté du 11 octobre 1885.
Reclus, Élisée (1830-1905), Correspondance, Paris : Schleicher Frères : A. Costes, 1911-1925. pp.364-366
VOTER TUE A VOIR ET ÉCOUTER, version longue
https://odysee.com/@SAPIENCE:8/VOTER-TUE_1080p:6